Réponse de Nicolas - le 07 février 2007 à 23h33

Alors je le dis fermement, mais je le dis avec netteté - et je le dis d'autant mieux que je sais ce qu'on en dira si je me tais, mais les français ont le droit de savoir et les français ont non seulement le droit de savoir mais ils veulent savoir, Monsieur de la Halloufwakhbarde. Car le drame de la France aujourd?hui c?est le doute qui, lui, ronge ; l'habite. Et ça fait mal. Et moi aussi j'ai mal, Monsieur de la Halloufwakhbarde. Je le dis avec force, j'ai mal au plus profond de moi, dans mon fondement même. Et trop longtemps cette aspiration retenue m'a déchiré l'intestin, comme grogne à la porte du chalet l'agneau qui vient de gravir les neiges et les embûches pour porter au village la bonne nouvelle de l'enfant mort sous les injures des chiens.

Alors sachez que je me battrai pour faire admettre à tous que la nécessité de répondre à votre inquiétude journalière oblige à la prise en compte encore plus effective d'un processus allant vers plus de transparence, au sein d'une politique de rupture, patronymique et démocratique. Et c'est en toute conscience que je déclare avec conviction que mon désir incontestable d'aller dans le sens d'une valorisation sans concession de nos caractères spécifiques, et l'aspiration de chacun à la sécurité et la neurasthénie entraîne une mission somme toute des plus exaltantes pour moi : l'élaboration d'un plan national d'urgence de niveau quatre, correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun, dans le respect des institutions de la République.


Merci, merci.